Quand je n’ose pas m’approcher du Seigneur, quand je n’ose plus avancer pour accueillir son amour, il m’arrive de sentir une caresse toute douce sur mon bras, jusqu’à ma main.

Je me sens alors comme tiré par ce mouvement chaleureux, que je peux suivre comme un ordre délicat et rassurant, puisqu’il me rappelle que Dieu me veut bel et bien avec Lui et en Lui, même si je ne me sens pas digne de marcher aux côtés de ses enfants.
J’ai représenté cette caresse par un ange, mais lorsque je pense à un proche, il arrive qu’il y ai des identités plus spécifiques, ce qui me fait croire encore plus fort à la communion des Saints.
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